Faites moi rêver

Ce dernier weekend de juin, le rassemblement Européen aura lieu. Cette initiative créée en 2022 à la frontière franco-Belge par 2 fous a réussi à se reproduire avec un grand succès en 2023. Pour la continuité de l’évènement cette initiative a été reprise par l’Europeans for safe (ESC)connections en 2024. On n’est plus dans l’improvisation, c’est du sérieux avec des orateurs de talent et une mobilisation d’énergies de différents pays Européens. C’est une véritable coopération entre diverses organisations nationales pour faire de cet évènement un véritable appel du pied aux autorités européennes. Heureusement, la technologie filaire nous aide à nous connecter entre nous pour mettre au point tous les détails de cet évènement. Imaginez des bonnes volontés au Danemark, en Hollande, en Allemagne, en Belgique, etc.. travaillant ensemble pour mettre en place un évènement en plein milieu de l’Allemagne. C’est du jamais vu, de l’inédit, il n’y a que des EHS complètement fous pour se lancer dans une telle aventure. Un peu comme les 2 fous en 2022.

Au début de cette année, je ne voulais plus me joindre à l’organisation d l’évènement car trouver un endroit protégé me semblait trop compliqué. Ils l’ont trouvé, félicitations. Il y avait le problème du logement à gérer pour 2 nuits, ils ont solutionné la chose. Il y avait le problème des têtes d’affiche à inviter, ils sont là. Mais tout cela a un coût et ce n’est pas avec une tente prêtée par mon village ou les pâtures du fermier voisin que le problème serait à nouveau résolu. Cet évènement est fait pour vous afin d’améliorer vos conditions de vie d’EHS dans les années à venir, afin de défendre la biodiversité et de promettre un avenir à nos enfants. Venez nous soutenir, venez nombreux. Au-delà du rassemblement, il y a un message à nos autorités bien pensantes que nous devons exprimer avec détermination.

Je sais, c’est loin, c’est coûteux, c’est compliqué pour un EHS mais faites comme moi, trouver des solutions et changer d’avis, VENEZ nous rejoindre. Réaliser avec nous votre rêve d’un avenir moins pollué par nos technologies dévastatrices. Au plaisir de vous rencontrer et de partager notre enthousiasme.
Régine et Guy et toute l’équipe de l’ESC.

Baldaquin en goguette

Vous vous souvenez certainement du nain de jardin dans le film Amélie Poulain qui voyage à travers le monde et qui envoie sa photo. Notre baldaquin suit le même chemin. Ce samedi, il était en Hollande pour participer à une journée de contact organisée par nos amis de Stichting EHS, association très active en Hollande. J’ai pu en profiter pour améliore mon néerlandais et inventer une nouvelle langue : le « Néerlanglais », un mélange de vocabulaire, d’onomatopée et de mimes. Quand on ne connait pas un mot comme aspirateur, on aspire avec la bouche bruyamment et on mime avec les bras. Bref, j’ai appris énormément de choses et enrichi mon vocabulaire. Notre prochaine promenade sera mi-juin dans un salon bien-être à Charlevilles-Mézières en France avant de se rendre en Allemagne à Kassel pour la journée Européenne avec l’équipe de l’ESC.

Notre baldaquin en Hollande a rencontré un vif succès et a décidé de rester là-bas pour quelques tests en situation réelle. On vous expliquera dans un prochain article l’idée cachée derrière cette initiative originale.

Chasseur d’ondes

Cette semaine et ces derniers jours, on a vraiment l’impression d’être devenus des chasseurs d’onde. Nous intervenons dans l’urgence en plaçant une protection pour la nuit mais quand je mesure l’exposition à laquelle les gens sont soumis en région urbaine, je me dis que c’est invivable.

Les premiers gestes devraient être de se départir totalement des sources de pollution interne au logement, encore fait-il les identifier et corriger ses habitudes. Cette correction ne vous empêchera pas d’être exposés aux sources externes qui ont été et vont encore être augmentées. Le docteur Belpomme parlait d’une véritable pandémie à venir et vu la réalité du terrain, je ne suis pas loin de penser comme lui.
Les vêtements de protection offrent un semblant de protection mais le corps continue à être exposé si la protection n’est pas totale et l’inconfort est parfois augmenté. La nuit, un bonnet sur la tête ou une couverture e protection sont insuffisants, il faut d’autres solutions pour mettre complètement le corps à l’abri. Nous n’avons plus de baldaquin en stock, nous dépannons en urgence avec ce dont nous disposons mais il faut le temps de recevoir le tissu et de coudre les enveloppes à poser sur la structure.

Le baldaquin pour la nuit est en terme de mesure totalement efficace s’il est bien placé, seulement les effets ne sont pas miraculeux si le corps reste soumis à une exposition trop importante durant la journée. les premières nuits sont parfois difficiles pour certains, on avait le même problème avec la maison sans ondes. Le corps semble complètement désorienté durant les premières nuits et tous les témoignages vont dans le mêmes sens. C’est une forme de sevrage et le corps est en manque des ondes, il a appris à se battre contre cet ennemi invisible et il ne comprend plus très bien comment réagir. Heureusement cela ne dure que quelques nuits et ce n’est pas une généralité pour tout le monde. Nous devons changer nos habitudes de vie et nos comportements à l’égard de ces technologies sans fil et nous ne devons pas attendre un revirement des autorités, au contraire pour eux la croissance passe par un développement exponentiel de cette technologie sans mesures de précautions. Nos politiques européennes et nationales ont aux mains des lobbies et de l’ICNIRP à travers l’autorité bien pensante de l’OMS.
En attendant, on continue à jouer les wave busters dans l’urgence.

Free style

Photo de Mary Taylor sur Pexels.com

J’étais convié à un atelier sur la 5G et la santé durant un meeting politique. Pour moi, c’était un simple atelier de discussion et je n’avais rien préparé. Une fois sur place, j’avais à ma disposition une salle de conférence avec rétroprojecteur et tous les équipements pour donner une conférence traditionnelle. Je n’avais pas mon ordinateur et les fichiers de ma conférence habituelle. Quand les premières personnes sont arrivées j’ai proposé de faire une conférence à l’ancienne et sans support visuel. La salle n’arrêtait pas de se remplir et je me suis donc lancé dans cet exercice d’improvisation ponctué d’anecdotes. Le public était attentif et interagissait avec moi en posant de nombreuses questions. J’avais rarement vécu un tel état d’émulation chez des personnes qui ne connaissait rien au sujet et qui n’avait aucune notion des pathologies en lien avec les ondes. J’ai tenu le crachoir pendant 2 heures et j’ai littéralement du m’évader de la salle. C’était ma première présentation à l’égard d’un public non EHS et cela a suscité une curiosité énorme dans le public présent.

Mais ma journée n’était pas finie, je devais ensuite aller placer un baldaquin chez une personne âgée malvoyante dans un village copieusement arrosé de Wallonie. C’est un bel appartement au centre de la petite ville avec de grandes fenêtres donnant sur la rue principale. La dame avait du quitter une maison trop exposée et avait choisi cet endroit pour les commodités. La pollution intérieure était considérable et un DECT branché n’améliorait pas la situation. Nous avons donc monté le baldaquin dans la chambre et comparé l’exposition entre l’extérieur et l’intérieur du baldaquin. NADA, rien comme exposition dans le baldaquin. La protection fonctionne totalement une fois de plus.

La journée n’était toujours pas finie, nous devions passer chez une autre dame chez qui le baldaquin ne fonctionnait pas, je voulais comprendre pourquoi. Elle avait la même pollution à l’intérieur et à l’extérieur.
Une fois sur place, je constatais les dires de la madame et je procédais à une inspection minutieuse du tissu et des coutures. Je ne trouvais rien. Je mesurais alors la pollution au niveau du sol de la chambre et au plafond au-dessus du baldaquin. J’ai ensuite mesuré dans la pièce située sous la chambre et constaté la même pollution. La dame n’avait pas voulu de tapis de sol croyant être protégée par les hourdis en béton. Nous avons donc procédé à différents tests en plaçant un tapis de sol et en comparant les résultats. Hourra, le problème venait de là et nous avions la solution. Le baldaquin fonctionnait maintenant à merveille.

La journée n’était toujours pas finie et une fois rentré, je découvrais un message d’un ami qui avait été monté deux baldaquins chez une autre dame et qui publiait, photos à l’appui, les résultats de l’efficacité du baldaquin après sa mise en place.

Je décidais que cette journée était finie, et que je pouvais aller dormir sur mes deux oreilles.

20 ans après

Le monde est petit et le destin est étrange. J’ai reçu un appel hier d’un médecin homéopathe croisé il y a plus de 20 ans qui me demande de passer chez lui dans son cabinet pour voir comment éliminer les sources de pollution électromagnétique. Son constat est simple, les remèdes homéopathiques sont moins efficaces et il soupçonne la désinformation par le brouillard électromagnétique.
A titre personnel, j’ai renoncé depuis longtemps à ce type de médecine basé sur l’information car, après m’être beaucoup documenté sur la mémoire de l’eau et les recherches de Benveniste et de Montagnier, mes conclusions étaient sans appel. La pollution électromagnétique vient complètement bousiller l’information contenue dans les petites granules. J’avais constaté la chose avec un traitement qui ne faisait plus effet sur mon organisme.

Je ne suis pas médecin homéopathe, ni docteur en général mais la réflexion de ce médecin vient quelque part confirmer mes soupçons. J’espère qu’on trouvera des solutions pour aménager son cabinet et qu’il pourra recevoir des EHS dans un futur proche.

Sortir de sa zone blanche

Nous avons changé de véhicule et nous avons opté pour un fourgon avec un espace de 2 m à l’intérieur sur 120 cm de large. Nous l’avons aménagé pour y être protégé des ondes et pouvoir y dormir si nécessaire. Nous l’avons testé en matière de protection aux hautes fréquences et en matière de lieu de repos. Nous avons du protéger la paroi entre le cockpit et l’espace fourgon avec de l’Adamantan003, le même que celui qu’on utilise pour les baldaquins et un tapis de sol en saphir, le même que celui qu’on utilise pour les tapis de sol de nos baldaquins. La partie fourgon est entièrement tôlée. L’air arrive par une trappe entre le cockpit et la partie fourgon. La trappe est couverte par l’Adamantan003.

En route pour les aventures maintenant, notre programme des prochaines semaines sera chargé en Belgique comme à l’étranger. Nous commencerons par un atelier à Monceau sur Sambre le 18 juin, suivi d’une escapade en Hollande à l’occasion du Landelijke contactdag organisé par Stichting EHS le 25 mai.
Nous continuerons par une conférence à Thuin le 31 mai avant de se préparer pour la journée mondiale des EHS où nous serons à Charleville Mézière les 15 et 16 juin au salon bien-être. Le temps de refaire nos valises et nous repartons ensuite pour le rassemblement Européen des EHS à Kassel fin juin. D’autres activités viendront certainement se glisser dans notre agenda déjà très chargé.

Notre vie d’ EHS ne se limite pas à rester protégé sous une couverture de survie dans notre zone blanche, pour le moment nous avons encore la capacité de nous déplacer et de parler de notre problématique grâce au baldaquin que nous avons mis au point et qui nous rend plus mobile tout en étant protégé. Le van est une solution complémentaire qui facilite nos déplacements. Au plaisir de vous croiser durant nos escapades.

Double identification = discrimination

Vivre en zone blanche ne présente pas que des avantages. Il devient difficile de s’adapter à l’évolution technologique pour pouvoir continuer à exister dans ce monde moderne. Pour développer les activités de notre asbl en Belgique, nous avons été obligé de faire face à de nombreuses contraintes administratives qui n’apportent rien si ce n’est des tracas et des coûts supplémentaires. Dans les nombreuses obligations administratives liées à cette activité qui semble être méconnue quand on parle de la nocivité des ondes, il en ressort une pour laquelle nous n’avons pas encore de solution.

En résumé, nous avons engagé une aide administrative à mi-temps et nous avons du choisir un secrétariat social pour nous aider dans les démarches ONSS, et calculs salaires. Nous avons choisi le secrétariat social qui nous semblait avoir un programme complet et efficace. Effectivement, le service est impeccable et le programme performant. Seulement en raison de la double authentification, impossible pour nous d’accéder au programme sans l’aide d’une assistante qui prête son numéro de GSM pour envoyer le code de double authentification et nous le communiquer en visioconférence. On nous suggère d’acheter un GSM pour recevoir le code exigé par le programme, personne ne semble comprendre ce qu’est une zone blanche. Avoir un GSM pour nous est déjà à l’opposé de nos principes mais surtout nécessiterait d’aller en voiture dans une zone qui capte et d’ensuite appeler chez nous pour communiquer le code d’accès.

Bref, cette péripétie dure maintenant depuis 2 semaines et aucune solution à l’horizon. Nous ne sommes pas les seuls dans ce cas, différentes organisations exigent cette double identification aisée à contourner.
Il semblerait que le droit d’être un citoyen implique la possession obligatoire d’un smartphone pour accomplir un certain nombre de tâches. C’est de la discrimination pure et simple à mon sens.

Protéger mon bureau

J’étais pas bien dans mon bureau avec toutes les sources de pollution basses fréquences. Notre installation électrique date sans aucun doute du siècle dernier et bien qu’elle soit conforme, les câbles ne sont pas blindés et ils circulent dans tous les sens. Dans ma chambre, je viens de désactiver un circuit qui n’avait même pas de terre. Les champs électriques basses fréquences sont un véritable cauchemar dans cet endroit pourtant protégé des antennes et des voisins.

Nous avons donc placé un baldaquin dans la chambre et un dans le bureau. Pour le bureau, je craignais de mettre l’ordinateur à l’intérieur du baldaquin mais les mesures sont bonnes avec la mise à la terre. Aux premiers essais, je paniquais car la pollution augmentait quand je mettais le tout à la terre. Après avoir démonté mon système de terre, je me suis rendu compte que la fiche ne fonctionnait pas à cause d’une petite rondelle qui empêchait le contact. Cet incident de parcours réparé, cela fonctionne correctement maintenant. Le baldaquin fonctionne comme un aspirateur des basses fréquences et me procure un espace protégé des hautes et basses fréquences. Nous n’avons pas de cave sommes sur le sol, nous n’avons donc pas besoin de tapis de sol pour nous protéger de ce qui viendrait du bas.

Je pense que dans le futur, il faudra disposer plusieurs baldaquins dans différentes pièces pour se protéger efficacement sans devoir entreprendre de coûteux travaux de blindage des différentes pièces du logement. Heureusement le tissu que nous utilisons est transparent et respirable. Dans quelques années notre maison sera une succession de baldaquins disposés dans les différentes pièces. Dieu (ou un autre) nous préserve de la folie des hommes.

Protégeons les enfants

Hier, j’ai eu la visite de ma fille avec mon petit fils de 6 ans, nous avons discuté protections contre les ondes et tout naturellement nous avons parlé de comment faire pour protéger les enfants durant leur croissance. On sait qu’il faut limiter absolument l’usage du sans fil à leur âge et qu’il faut les préserver des antennes et du wifi. Cela étant dit, ce n’est pas toujours facile à mettre en place.

Ce matin, je me suis souvenue d’une des premières tentes que j’avais fabriqué pour solutionner le problème de la stabilité des structures. C’était des réalisations complexes basées sur 4 triangles au niveau de la base. Nous avons redescendu un prototype du grenier et l’avons reconstitué. Il est toujours opérationnel et robuste. Il fait en dimensions extérieures 208 cm de long, sur 105 cm de large et 140 cm de hauteur. Il peut très bien convenir à un lit d’enfant. Le voile comporte une porte et il est fixé à la structure à l’aide de nombreux rubans. La structure peut encore être renforcée par des boulons et des écrous.

Nous avons décidé de faire de la place et nous liquidons cet exemplaire unique au prix 350 € HTVA. On ne pourra pas l’envoyer par la poste car les triangles sont collés et le colis serait trop encombrant.

Pour les renseignements, guy.lerat@proximus.be. N’oubliez pas d’éloigner et d’éteindre toutes les ources de pollution internes à votre logement.