Prendre le temps

Je joins copie du mail reçu ce matin d’un baldaquin livré début du mois dans le Vercors.
Prendre le temps de laisser au corps la possibilité de changer son métabolisme comme mes 2 petits lézards.

« Bonjour Guy,
Avais-tu reçu mon mail ci-dessous ?
Je voulais te dire que les nouvelles sont bonnes :
De nuit en nuit, je sens de moins en moins mon cœur qui cogne partout dans mon corps et c’est énorme pour moi !
et une rougeur d’inflammation à mon index de pied gauche qui ne disparaissait, pas commence sérieusement à disparaître.
Alors mercimerci !
On envisage de vous en acheter un autre pour ma fille
Amicalement,
Joëlle

Le 09/06/2024 à 15:29, Joëlle Corriol a écrit :

Bonjour Guy,
Pour la taille, c’est parfait, mes 2 petites tables de nuit tiennent bien dedans.
Je l’ai bien mis à la terre (j’ai une très bonne terre : 2 Ohms).
Les indications de construction sont parfaites. Pourquoi est-ce si important de les respecter scrupuleusement puisqu’il y a des symétries et que les barres semblent interchangeables ?
Clipsage en effet difficile pour moi mais ma fille a pu le faire sans problème.
Première nuit un peu difficile, alors j’ai ouvert le baldaquin (aucune onde détectable de ce côté-là).
Deuxième nuit un peu moins difficile, mais en tout cas, pas d’amélioration pour l’instant.
On attend de voir la suite !
A+ pour d’autres nouvelles !

Le 07/06/2024 à 16:59, Lerat Guy a écrit :

Merci,
veillez à bien fermer la porte hermétiquement et n’oubliez pas la prise de terre.
Il faut bien respecter les étiquettes au niveau couleur et au niveau indication.
1 rouge avec 1 rouge et A avec A.
Le bas en bas
Les renforts sont un peu difficiles à clipser au début mais après c’est plus facile.
Bon montage.
Envoyez moi une photo.
Bien à vous
Guy
Un lieu de vie pour EHS asbl
Le 07-06-24 à 15:37, Joëlle a écrit :

Bonjour Guy,
On vient de recevoir le baldaquin, youpi !

On est en train de le monter. »

Les anecdotes du salon, Madame Irma

De l’intérieur de notre baldaquin, on pouvait observer des choses étranges dans ce salon du bien-être et de la voyance. Le dimanche matin, un peu avant l’ouverture des portes, je suis allé chercher un café pour me réveiller. Ma femme était seule devant le stand quand une petite dame âgée et étrangement accoutrée s’approche d’elle. Elle était très maquillée et parlait avec un accent. Elle se présente à mon épouse et lui demande si elle est exposante, elle enchaine ensuite avec son histoire, Vénézuélienne, frappée petite par la foudre, elle obtient ainsi le don de voyance et de mediumnité, mariée 6 fois, vendeuse de saucisse,… toute une vie en quelque secondes. J’écoutais de loin et je reviens avec mon café. Elle se tourne vers moi et me dit que je suis magnétiseur et guérisseur, puis elle se tourne vers mon épouse et lui dit qu’elle voit une couronne dorée au-dessus de sa tête et qu’elle avait du être une reine.
Le prénom de ma femme est Régine (regina : la reine en latin). La madame disparait aussi vite qu’elle était apparue. Les portes s’ouvrent et la course au « oui », « oui » commence.

Ce n’est pas la seule anecdote de la journée. J’avais croisé un exposant qui vendait des pierres et qui me proposait un pentacle pour me protéger des ondes. Je l’invitait à venir tester l’efficacité de son remède miracle sous ma zone de test. Il se présenta en fin de salon avec son pentacle supposé protégé une pièce et avec des pastilles à coller sur un smartphone. Nous avons mis son smartphone connecté dans la zone de test sous le baldaquin pour chaise et allumé le Cemprotec31. Réaction immédiate de l’appareil qui devient tout rouge comme une tomate. Nous avons ensuite réitéré l’expérience avec une pastille sur le smartphone, même réaction de l’appareil de contrôle. pour aller jusqu’au bout, nous avons placé le smartphone sur le grand pentacle et avons obtenu le même résultat. Pour ne pas rester sur un échec, j’ai ensuite emballé le smartphone dans du tissu Adamantan003 et placé le tout dans la zone de test. Aucune réaction de l’appareil de mesure. L’exposant très impressionné est parti chercher un bonnet de protection qu’il avait acheté chez Biologa et il est venu tester l’efficacité de la protection en emballant son smartphone allumé dans le bonnet. Aucune réaction de l’appareil. Il est retourné chez Biologa pour racheter un deuxième bonnet pour sa copine.

Tout cela est très anecdotique mais montre à quel point l’illustration par des constats simples aides à mieux comprendre et à sensibiliser à la pollution électromagnétique tout en réglant les comptes avec les gris-gris.

La prochaine présentation

Notre prochaine sortie se fera en Allemagne à l’occasion de la 3ème édition du rassemblement Européen des EHS que nous avions réalisé avec David en 2022 et 2023 chez nous. Nous profiterons de cet évènement pour sortir nos baldaquins et les présenter au public Allemand présent. La photo a été prise à l’entrée de notre maison en juin 2023, il faisait très chaud ce qui n’est pas le cas à 1 an d’intervalle. On y retrouve 3 membres de l’équipe de « Ma vie en mode avion », David, Valérie-Anne et Michaël.

Dans le jardin, nous avions déjà présenté les structures de baldaquin à l’état de prototype et sans les tissus de protection. A l’époque, nous n’avions pas encore sélectionné ce qui serait idéal au niveau protection tout en étant respirable et transparent. Le rassemblement nous a permis de découvrir le tissu en Adamantan003 que nous ne connaissions pas à l’époque. Ce rassemblement est un lieu d’échange, de retrouvailles et de convivialité. Il reste peut-être des places pour cette année et ce serait un grand plaisir de vous y rencontrer.

Avant le rassemblement, nous irons à Paris pour enregistrer une émission à la TV sur la problématique des ondes et le lendemain nous reprendrons la route pour l’Allemagne. Nous sommes occupés à établir un calendrier complet pour les prochains mois avec les salons auxquels nous aimerions participer et diffuser le plus largement la problématique des onde dans notre quotidien.

Le bilan de notre expérience salon

Il est maintenant temps de tirer quelques conclusions de notre première expérience salon. Il faut d’abord rappeler que sans le baldaquin de protection, cela n’aurait pas été possible pour nous. C’était un véritable refuge qui nous permettait de récupérer entre nos interventions extérieures. La pollution dans le palais des expositions résultait principalement des smartphones du public, plus il y avait de monde, plus cette pollution augmentait. Nous sommes parfois restés longtemps planqués dans notre abri pour récupérer.

Le plus impressionnant pour nous était l’omniprésence de smartphones, ma première question « avez-vous un smartphone ? » a toujours, sauf 5 personnes, eu comme réponse « Oui », la suite était trop facile. Notre but étant l’information, on était gagnant à chaque intervention.

Nous avons fait le décompte des flyers distribués, ils sont tous partis, cela représente +/- 200 personnes touchées. Certains revenaient avec leur famille et profitaient de l’expérience pour expliquer aux enfants.

Le deuxième jour, un responsable de l’organisation est venu nous voir spontanément pour demander à faire le test avec son smartphone, il est ensuite revenu avec un collègue. Nous avons eu ensuite un jeune de l’équipe d’intendance qui est venu et revenu avec sa copine, il a essayé plusieurs smartphones.

Le principal trouble cité par les personnes interrogées est toujours le problème de sommeil. A la question « que faites vous avec votre smartphone avant d’aller dormir ? » Tous ont répondu qu’ils le plaçait sur la table de nuit pour le recharger et le programmer comme réveil pour le lendemain. Une dame dormait avec sa montre connectée et son smartphone sur la table de nuit, elle se plaignait de mauvaises nuits et de migraines. Elle ne savait pas que sa montre produisait des ondes. L’ignorance est la principale source de mauvaise utilisation de l’outil et conduit à une véritable dépendance à cette technologie.

Même informé des nuisances de cette technologie, les gens ne veulent pas changer de comportement, « les ondes sont partout, mon bon monsieur », « j’en ai besoin pour mon boulot », « je dois pouvoir rester joignable pour ma famille ». Au-delà des raisons pour rester joignables on sent chez l’individu un besoin d’exister et d’être important. Le smartphone est devenu un organe de reconnaissance social.

Le sujet vaudrait la peine d’être investigué au niveau sociologique au niveau des conséquences comportementales des individus et de la facilité avec laquelle l’outil s’est imposé comme un élément vital de l’existence.

En première conclusion, et comme nous sommes relativement protégés, nous allons continuer notre expérience de salons en y apportant quelques aménagements et en développant un questionnaire plus pointu.

Notre premier salon

Voilà, c’est fait. Pour la journée mondiale des EHS initiée par Coeurs d’EHS, nous avions décidé de participer à un salon bien-être. C’est une expérience risquée car elle nécessite obligatoirement pour nous une exposition importante. Nous avions prévu un baldaquin de 200 cm sur 100 cm de large et une structure pour chaise dans nos bagages. Il fallait tout faire tenir sur 4 m² avec la documentation.

Le samedi 14 à 9h30 nous étions sur place à Charleville-Mézières pour le montage. Nous n’étions pas les premiers et les exposants professionnels rivalisaient d’originalité pour attirer l’attention du chaland. Nous le but était simple, attirer l’attention du passant et le sensibiliser à la pollution électromagnétique, chose difficile quand on est invisible caché derrière une protection. Monter le stand est chose aisée avec le système de tube pour nos baldaquins, ensuite on doit juste déposer la protection en Adamantan003. Notre fournisseur BIOLOGA avait fait 5 heures de route pour être également présent avec son propre stand de produits.

Samedi 14h, ouverture des portes au public, ce n’est pas la ruée. Les gens passent et personne ne s’arrête, nous sommes invisibles derrière notre baldaquin de protection. On voit les gens mais ils ne nous voient pas. Manifestement il y a un problème de conception et cela remet en cause notre présence dans ce genre de manifestation.

Non, on va sortir à nos risques et périls de notre refuge et faire venir les gens. De mes formations en hypnothérapie, j’ai retenu la méthode des 2 « OUI », on va tenter le coup.

« Bonjour, vous posséder un smartphone ?  » réponse « OUI », « Vous l’avez avec vous ? » réponse « Oui », « Vous voulez faire un test ? pour visualiser sa pollution ?  » réponse plus de 90 % de « Oui ». Il ne nous restait plus qu’à placer le smartphone dans la structure protégée pour une chaise, démontrer la pollution, remettre la documentation et expliquer la problématique. Les personnes commençaient à s’amasser et nous n’avons plus arrêté pendant 2 jours.

j’ai froid

Je passe malheureusement de plus en plus de temps dans mon bureau, j’ai les doigts complètement gelés et quand je pianote sur mon clavier, les lettres ne correspondent plus à mes idées. Bref, j’ai froid et le temps pourri et humide que nous connaissons dans ce réchauffement climatique n’arrange rien. J’ai donc demandé à un installateur de poêle de venir voir d’il était possible d’installer un poêle à pellets dans la pièce qui me sert de bureau.

Techniquement, c’est réalisable, onéreux mais réalisable. Le technicien me laisse une documentation et une liste de prix en me promettant d’envoyer un devis dans les prochains jours.

Les doigts toujours gelés, je prend le temps de feuilleter la brochure, l’esthétisme m’intéresse peu, je cherche surtout le rapport qualité/prix et les renseignements techniques. La page 3 de la brochure affiche fièrement en premier avantage un sigle que je connais bien et j’apprend que tous ces poêles sont équipés en standard d’un module WIFI et bluetooth. Au même moment où je lis la phrase mon cerveau fait le lien avec une maison que j’avais visité 2 mois auparavant et dans laquelle je n’avais pas réussi à identifier une source importante de pollution alors qu’un poêle à pellets récent (il était neuf) trônait dans le salon et était la source principale de ce logement.

Béotien que j’étais, je n’avais jamais imaginé que cela pouvait être équipé d’une technologie sans fil et qu’il pouvait polluer à ce point.

Je ne sais pas s’il existe encore des poêles sans cette technologie invasive mais avant de faire mon choix je vais me tourner vers une bonne paire de gants pour protéger mes doigts.

On vit sur mars

Désolé , j’étais dans la lune, je me suis trompé de planète en me réveillant ce matin. J’étais sous ma bulle de protection, un baldaquin pour dormir à l’abri des ondes et je me suis précipité hors de mon lit en oubliant de mettre mon casque et mes vêtements de protection. Sur mars ma sortie précipitée m’aurait immédiatement grillé sur place. Heureusement, je vis encore sur terre et toutes ces précautions ne sont pas encore indispensables pour survivre.

Soit, tous ces gens sont fous pour se vêtir de la sorte et dormir dans des cages, soit il y aurait quand même un problème avec la façon dont l’humain est occupé à transformer son environnement. Le matin, je suis encore réveillé par le chant des oiseaux et le concert donné par les grenouilles. Ce monde là, demain, il est condamné à disparaitre pour faire place à un monde artificiel.

Les élections chez nous sont terminées avec l’arrivée en fanfare de la droite qui veut pour le bien de tous une économie centrée sur la croissance. Cette croissance passe par l’évolution technologique et le développement rapide de la 5G partout sur le territoire. Les opérateurs et l’industrie ont gagné, ils ont l’aval du Parlement Européen et un chèque en blanc pour imposer leurs antennes comme ils veulent. Notre gouvernement Wallon a encore libéré une enveloppe en leur faveur juste avant les élections. Adieu les idées vertes et la protection de la nature et des plus faibles. Vous voulez survivre, mettez votre casque et vos vêtements de protection. On vous habitue ainsi à apprendre à survivre sur une autre planète, merci les ondes.

Tester l’éviction en live

Le temps s’écoule, les gouvernements passent et nous on continue à se battre pour faire prendre en compte notre difficulté à vivre avec la pollution électromagnétique. A l’occasion de la journée mondiale des EHS du 16 juin, nous serons présents à Charleville-Mézières pour le weekend. Notre but n’est pas de nous étaler sur notre handicap mais bien de faire connaître au plus grand nombre les dangers liés à cette pollution électromagnétique. Pour ce faire, nous avons planifié de continuer nos conférences (déjà 3 depuis avril) et de nous manifester dans des salons tournant autour du bien-être.

A l’occasion de ce salon, nous allons permettre aux personnes de s’installer dans une cage de faraday et de visualiser à l’aide d’un appareil de mesure la différence de pollution entre l’extérieur de la cage et l’intérieur. Ce sera pour nous l’opportunité de communiquer sur les risques liés à l’utilisation excessive des technologies sans fils.

Ce sera certainement très éprouvant, mais je compte sur notre protection, baldaquin complet pour nous mettre à l’abri mon épouse et moi.
Nous utiliserons le matériel suivant : 2 Cemprotec31 pour pouvoir comparer la pollution en dehors et à l’intérieur, un structure avec voile pour chaise et une structure avec voile pour lit simple pour nous protéger.
Nous partagerons les résultats de cette expérience dans un prochain article.

L’expérience nous servira également à démontrer l’utilité et l’efficacité de ce genre de protection aux EHS.

Les lendemains difficiles

Au lendemain des élections en Belgique et en Europe, ça sent pas la lavande pour nous les EHS. Les partis élus avaient répondu à nos questionnaires qu’ils étaient tous partisans d’un déploiement rapide de la 5G et étaient très timides sur la préservation de zones blanches. Nous devons en tirer les conséquences pour notre survie. De plus, notre ministre Borsus, vice-président en Wallonie a également lâché un budget important aux opérateurs juste avant les élections pour qu’ils puissent rapidement éliminer du paysage les taches blanches qui subsisteraient encore à l’heure où j’écris.

Nous préparons activement notre salon à Charlevilles-Mézières et nous faisons des simulations de notre mise en place. Il y aura une structure de protection pour chaise qui servira d’endroit de démonstration pour les visiteurs pendant que nous serons confortablement assis derrière sous haute protection.

Les gens pourrons venir tester la différence entre la pollution électromagnétique du salon et un endroit à l’abri des ondes. Pour nous c’est une première et un test. On fera le bilan et on verra si on continue sur cette voix pour faire connaître les méfaits de la pollution électromagnétique. Au plaisir peut-être de vous croiser.

Le baldaquin voyage dans le Vercors

Il faut environ 2 à 3 jours pour qu’une expédition de baldaquin arrive en France. Le montage ne semble pas avoir posé de problème et je reçois les premières photos.

Nous avons placé plusieurs baldaquins en ce début de mois et nous travaillons activement à la préparation de notre salon bien-être à Charlevilles-Mézières les 15 et 6 juin 2024.
Nous serons sous un baldaquin de protection qui est un de premiers prototypes. Nous présenterons également la protection pour chaise et les gens pourrons l’essayer. On travaille cette semaine sur un système de fermeture aimanté comme les moustiquaires magnétiques. Pas évident à mettre en place.

On y incorporera un appareil de mesure pour permettre aux gens d’apprécier et de visualiser la différence avec et sans protection. J’espère pouvoir placer ce système sur les portes des nouveaux baldaquins mais il faut d’abord que les tests soient probants et que cela n’explose pas les coûts.

Ce sera notre premier salon, une répétition avant notre départ fin du mois en Allemagne.