La couleuvre à collier

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Mon épouse et moi étions absents pour formation en ce début juillet. Nous avions demandé à notre voisin du musée du « grand méchant loup » de venir soigner nos animaux durant notre absence. En passant pour le remercier, il me raconte qu’il a vu la queue d’un serpent en allant soigner la canne.
Hier, j’ai surpris le serpent coincé dans un filet pour fraisier, complètement entortillé et incapable de sortir de ce filet. Je ne voyais que la queue et pas la tête. Je n’ai pas osé y toucher et j’ai fait appel à un autre voisin qui s’occupe de la faune. Avec une paire de ciseau, il a découpé le filet et libéré l’animal. Il m’a clairement expliqué que c’était un serpent totalement inoffensif qui craignait l’homme et qui pour se défendre fuyait en déféquant et en laissant derrière lui une odeur épouvantable. Il a également pu me dire que c’était une femelle en gestation et que vu sa taille elle devait avoir minimum 2 ans. J’ai donné un bac fermé et il est reparti avec l’animal pour le confier au service santé animale de l’étang de Virelle.

Cette anecdote n’a rien à voir avec les EHS, c’est juste pour dire que notre lieu à l’abri des ondes attire une faune extraordinairement riche et qu’elle est la preuve que l’absence de CEM en fait un lieu d’accueil idéal pour les animaux.

Nos différentes recherches pour améliorer la vie des EHS se poursuivent et mon traitement à l’hydrogène a clairement montré que cela pouvait améliorer notre existence. Il n’y a pas de pilule miracle. 2 dames venues à notre dernier rassemblement, nous ont démontré par leur comportements que vivre dans un lieu comme le nôtre redonnait espoir et foi dans l’avenir. On n’est pas là pour se plaindre mais pour trouver sa solution. Courage à tous.