

Il n’y a pas 3 mois, je me baladais avec un casque et une combinaison complète de protection. J’essayais tant bien que mal de m’inspirer d’Anne Aster au Québec pour mettre au point des solutions pour pouvoir sortir de notre zone blanche. Dimanche, nous étions en plein milieu d’un camping en Hollande. J’avais emmené avec moi ma précieuse machine à Hydrogène. L’endroit n’était pas trop exposé et j’ai pu me promener en toute liberté dans ce lieu légèrement arrosé par des radars militaires.
« Qu’est-ce que la thérapie par inhalation d’hydrogène moléculaire ?
Pour comprendre le gaz, nous devons d’abord comprendre la thérapie par inhalation d’hydrogène. Comme son nom l’indique, cette thérapie consiste à respirer de l’hydrogène gazeux à une faible concentration de 1 à 4% via une canule nasale (tube). Bien qu’il soit possible d’ingérer de l’hydrogène par d’autres moyens, comme l’eau, l’inhalation d’hydrogène est la méthode la plus efficace, car elle permet de délivrer de l’hydrogène moléculaire directement dans le sang. L’hydrogène est alors immédiatement disponible pour le reste du corps par la circulation sanguine.
L’hydrogénothérapie est bien étudiée, avec plus de 1 000 études scientifiques suggérant une multitude d’avantages de l’hydrogène moléculaire dans presque tous les organes du corps humain. Voici quelques exemples de ses avantages :
- Stimulation des performances athlétiques.
- Effets anti-inflammatoires.
- Soutien neuroprotecteur.
- Effets semblables à ceux des antioxydants, y compris la neutralisation des radicaux libres.
Qu’est-ce que le gaz ?
Le gaz est souvent comparé à l’hydrogénothérapie car il contient à la fois de l’hydrogène et de l’oxygène. Toutefois, sa concentration en hydrogène moléculaire est beaucoup plus élevée (66%), les 33% restants étant constitués d’oxygène. Le gaz de synthèse est également connu sous les noms de HHO et HydrOxy.
Il a été créé grâce aux recherches d’un ingénieur bulgare nommé Ilya Velbov, qui a émigré en Australie et a changé son nom en Yull Brown, d’où le nom Brown’s Gas. M. Brown a consacré 30 ans de sa carrière à la technologie de l’électrolyse de l’eau, qui permet de produire le gaz.
L’électrolyse de l’eau est un processus qui consiste à séparer les composants de l’eau (hydrogène et oxygène) à l’aide d’un électrolyseur à ligne unique. Pour ce faire, on insère deux électrodes dans une solution qui contient de l’eau et un catalyseur. Le passage d’un courant électrique dans la solution entraîne le développement de l’hydrogène à partir de l’électrode négative, tandis que l’oxygène se développe à partir de l’électrode positive. Au cours du processus, une membrane maintient l’hydrogène et l’oxygène séparés dans deux compartiments différents, ce qui nous permet ensuite de fabriquer le gaz.
Dans la thérapie par inhalation du gaz, il est important de noter que le dosage est faible pour assurer un flux d’oxygène adéquat. Les experts recommandent un débit de gaz de 18 à 20 L/h pour un adulte de poids normal. Cela garantit en fait une augmentation de l’inhalation d’oxygène, puisque le gaz contient 33% d’oxygène.
À qui s’adresse la thérapie au gaz ?
Environ 10% du poids du corps humain et 63% de son volume sont constitués d’hydrogène. Nous avons besoin d’hydrogène pour nous développer, c’est pourquoi cette thérapie présente de nombreux avantages potentiels. Il convient de noter que nous obtenons de l’hydrogène en mangeant, car les composés organiques en contiennent. Lorsque nous digérons et absorbons les nutriments des aliments, nous ingérons de l’hydrogène.
L’organisme utilise l’hydrogène dans de nombreuses fonctions clés, comme l’oxydation pour maintenir des niveaux d’énergie adéquats. En fournissant à l’organisme de l’hydrogène supplémentaire par le biais de la thérapie par le gaz, nous pouvons débloquer une série d’avantages. Ce traitement s’est révélé utile pour de nombreuses maladies et affections chroniques, ce qui le rend potentiellement utile pour presque tout le monde. »https://www.lifespan-plus.com/
Ceci est une courte présentation extraite d’un article de promotion. Le lien avec l’EHS n’est pas évident au premier abord. Mon attention a été attirée par le mot « radicaux libres », terme auquel le docteur Belpomme semble accorder beaucoup d’importance dans son livre « le livre noir des ondes ». Nous nous sommes donc lancé dans l’aventure sans hésitation malgré le coût de ce genre d’appareil. On continue les tests, ce n’est pas une guérison mais cela nous permet maintenant, tout en restant raisonnable » de nous déplacer dans le monde extérieur.