Maison blindée pour EHS

Nous avons eu la confirmation hier, la locataire actuelle déménage et quitte la maison blindée le 15 octobre. Le temps de rafraichir l’intérieur et d’entretenir un peu l’extérieur et la maison sera à nouveau disponible pour accueillir des EHS à partir du 1er novembre. Nous louerons par quinzaine durant quelques mois, le temps pour nous d’y organiser notre déménagement.

Pour rappel; la maison est protégée contre les hautes fréquences et les basses fréquences. Les câbles sont blindés et ils ne circulent pas dans les murs. Il y a 3 connections internet possibles. Frigo et chauffage sont sur des circuits distincts.

Merci de nous contacter sur l’adresse mail guy.esc@proton.be pour tarif et disponibilité. Le prix demandé comprend le chauffage, l’électricité, l’eau et l’internet. Possibilité également d’y suivre un traitement à l’hydrogène pendant le séjour sur demande et moyennant un supplément.
Au plaisir de vous y revoir.
Régine et Guy

Découverte de l’Inserm

Je profite d’un peu de temps pour reprendre sur ma page facebook cet article de « zero wave zone ». Il parle d’une recherche récente.

Mai 2025 : l’onde de choc : C’est dans ce contexte d’échec scientifique généralisé que tombe la publication « Skin Fibroblasts from Individuals Self-Diagnosed as Electrosensitive Reveal Two Distinct Subsets with Delayed Nucleoshuttling of the ATM Protein in Common » dans l’International Journal of Molecular Sciences. Premier résultat majeur de la cohorte DEMETER, cette étude pulvérise littéralement 50 ans de certitudes scientifiques.

Quand les cellules parlent plus fort que les préjugés

Une étude révolutionnaire menée par l’ANSES vient de porter un coup fatal aux théories psychosomatiques sur l’électrosensibilité. Intitulée « Skin Fibroblasts from Individuals Self-Diagnosed as Electrosensitive Reveal Two Distinct Subsets with Delayed Nucleoshuttling of the ATM Protein in Common », cette recherche établit pour la première fois une définition moléculaire de l’EHS.

Traduction ? Vos souffrances ne sont pas imaginaires. Elles sont inscrites dans vos cellules.

Cet article trop technique pour mes capacités intellectuelles vient en tout cas conforter mon traitement actuel. Hier soir, j’étais en ligne avec Yves-Alexandre Rafalovitch, vice-président de AZB et médecin responsable du Comes, nous avons échangé sur l’utilisation de l’hydrogène comme anti-oxydant et aide substantielle aux EHS. Je suis convié début octobre à une visio sur le sujet devant le COMES de AZB.

Toujours dans le même contexte, une ami m’a ramené hier un inhalateur d’hydrogène que j’avais prêté et qui a commencé sa cure le 27/08/2025. Elle n’a pas pratiqué au même rythme que moi c’est à dire 2 fois 30 min par jour, mais elle a utilisé les mêmes doses. Elle m’ raconté hier qu’elle avait été à un cour de Yoga à Chimay, dans un endroit réputé assez exposé. Elle n’a rien ressentit et elle n’avait aucune protection et elle se portait à merveille. Elle ajoute que à aucun moment elle n’a pensé aux ondes, elle a fait sa pratique de Yoga normalement avec les autres et elle en a déduit que l’aspect psychologique jouait également un rôle dans le degré de sensibilité.

J’en conclus, j’ai mal, j’active mes mécanismes de défense et je déclenche une réaction amplifiée par mon cerveau. Je ne sens rien, je ne panique pas et je n’entre pas dans une réaction démesurée de mon organisme. Nous avons pu constater ces derniers mois des réactions disproportionnées chez certains EHS, je les justifie amplement par le conditionnement indirect de la douleur sur nos réactions et sur notre tempérament quotidien. L’EHS n’est pas d’origine psychologique mais a des conséquences sur notre fonctionnement quotidien dirigé par la peur.

Le traitement à l’hydrogène m’a permis une certaine prise de distance qui m’autorise maintenant une vie sociale moins agressive envers l’autre. Ne rien sentir, ne justifie pas de mettre de côté une hygiène électromagnétique constante.

L’éviction, dormir sous un baldaquin et l’hydrogène sont des outils quotidiens qui permettent de renforcer nos cellules et notre armée corporelle contre les agresseurs que sont les CEM et autres polluants. Cela me permet de maintenir et de renforcer mon système immunitaire, la meilleure arme contre l’ennemi. Ce sont mes drones ukrainiens face aux missiles adverses.

Un tour à Tours

Nous avons consacré ce dimanche à aider une association française de la région de Tours. Nous étions convié à tenir un stand durant une grosse manifestation locale « convergence bio » et nous devions nous démarquer. Nous avons sorti un baldaquin anti-ondes de nos cartons et nous avons animé toute la journée de dimanche le long de la Loire. Un singe enfermé dans une cage attire toujours l’attention, je n’ai pas eu droit aux cacahuètes mais à une journée d’échanges passionnante avec les passants. Notre camionnette attire indubitablement l’attention et nous avons épuisé en une journée notre stock de prospectus.

L’association a réussi sa promotion et a enregistré de nouveaux membres. Nous avions également mis l’ESC en avant et profité d’une météo clémente avec le bruit de la rivière en fond sonore.

Ce genre d’opération fait partie de notre philosophie de travail pour sortir du microcosme des EHS et faire connaître la problématique des ondes à un plus grand nombre. J’avais parfois l’impression durant la journée d’être un bonimenteur public face aux gens qui s’amassaient en grappe autour de nous. Je suis sorti de nombreuses fois de mon baldaquin pour inviter les gens à comparer les mesures dedans et en dehors. Nous avions un appareil de mesure avec nous et les comparaisons étaient sans appel.

Toute cette démarche a été rendue possible grâce à la camionnette équipée pour pouvoir loger en zone polluée, au baldaquin en Adamantan003 qui a encore une fois prouvé son efficacité et enfin grâce aux séances d’hydrogénothérapie qui me permettent de sortir raisonnablement dans la pollution sans être affecté par les symptômes de l’EHS. Ce genre d’action permet de mieux faire connaître l’impact de la pollution électromagnétique à la population en touchant directement les personnes. Je suis ouvert à toutes suggestions pour aider d’autres associations.

Un petit coup d’hydrogène avant d’aller dormir

On commence à faire des émules. Nous avons maintenant un panel de volontaires qui teste l’hydrogène en inhalation. Chez nous, les bénéfices continuent à se faire sentir comme la perte de poids. Il ne faut pas avoir peur de forcer la dose et il faut rester constant. C’est un jeu d’équilibre entre les radicaux libres, le stress immunitaire et d’autre part les électrons négatifs dans notre corps. On pourrait se mettre à la terre, marcher pied nu dans l’herbe avec des résultats identiques mais pas cette opportunité de remettre à niveau directement notre système immunitaire.

J’ai maintenant plusieurs personnes qui ont commencé à l’utiliser de façon quotidienne. C’est un peu contraignant mais rien n’empêche de meubler les séances par une occupation comme lire un livre, jouer comme moi aux échecs ou simplement visualiser un film à la Tv.
Propriétés antioxydantes et impact sur le stress oxydatif, utilisation de l’hydrogène pour la réduction de l’inflammation, lutte contre les radicaux libres, traitement contre le cancer, le diabète, … , bref la liste des indications est longue sans effets secondaires.

A titre personnel, c’est une véritable transformation tout en surveillant en parallèle une hygiène de vie loin des ondes drastiques avec la possibilité de refaire des écarts. Le WE dernier, nous avons sur la même journée, ma femme et moi, été au cinéma et terminé par un restaurant. Nous n’avions plus osé cela depuis plus de 5 ans. Mon épouse a pu être engagée pour reprendre un travail à mi-temps en France et nous avons plein de nouveaux projets pour l’avenir. Bref, ça ne guérit pas, l’EHS n’est pas une maladie pour nous, mais ça aide à réintégrer un peu la vie sociale. C’est juste une petite bouffée d’hydrogène.

Convergences bio à Tours

Le weekend prochain, nous serons à Tours en France le long de la Loire. C’est un voyage de 500 km pour aller soutenir dans son action une petite organisation locale qui a rejoint l’ESC depuis l’année passée. Cela n’a aucun lien direct avec l’EHS mais ce sera l’occasion de promener notre van et d’exposer un peu l’hydre à l’air. Une telle expédition n’aurait pas été envisageable au début de l’année, je marchais avec une canne et je craignais l’exposition aux ondes comme la peste. Seulement voilà, je me traite depuis le mois de mais avec de l’hydrogène et j’ai maintenant la capacité de me déplacer sans canne et de sortir dans la civilisation.

Cet après-midi, avec mon épouse, nous sortons pour fêter notre anniversaire de mariage que j’ai encore oublier. Nous irons au cinéma sans protection et ensuite un petit repas dans une auberge du coin. Mon épouse pratique l’hydrogène depuis moins longtemps mais elle a quand même eu la capacité d’aller se présenter pour un emploi et elle l’a obtenu. Des EHS viennent chez nous pour poursuivre le traitement et 2 machines sont également en fonction chez 2 autres EHS. Ce n’est pas un produit miracle, une pilule magique mais force est de constater que cela a quand même un effet globale sur notre système immunitaire en ciblant directement les radicaux libres et en soutenant nos mitochondries.

J’espère continuer à explorer cette piste après notre petit périple en France, ce qui n’empêche pas de continuer à éviter les ondes et de se protéger. Non, je n’ai toujours pas de smartphone et j’espère ne jamais en avoir besoin.

C’est parti, l’annonce est parue

Nous avons confié le mandat à l’agence ATIPI à Chimay. Vous pouvez retrouver des photos récentes du bien sur leur site ou sur Immoweb.be. Les coordonnées d’ATIPI sont

https://www.atipi.be/

ou sur le site Immoweb.be sur le code postal 6464.

Bonne découverte à vous.

C’est pas la lune

Photo de GEORGE DESIPRIS sur Pexels.com

Je ne sais pas si la lune a une influence sur notre inconscient mais la journée d’hier, 9/09/2025 a été très particulière. Entre la première visite pour la vente de notre maison, la signature du mandat avec l’agence immobilière ATIPI de Chimay, l’arrivée d’une machine d’hydrogène et l’annonce que mon épouse était engagée pour un travail en France, ça fait beaucoup à digérer pour une journée. Tout cela remet en question notre organisation de vie, on fonde de grands espoirs sur l’utilisation de l’hydrogène pour améliorer notre tolérance aux ondes et rebooster notre système immunitaire. Nous avons maintenant plusieurs personnes qui ont commencé des traitements, j’ai hâte de voir les résultats.

Autre coïncidence, l’agent immobilier connaissait bien l’hydrogène et les caractéristiques de ces appareils, il nous a donné un vrai cour sur le sujet. C’est une voie à explorer sérieusement en dépit du coût de ces appareils. Une fois de plus, l’occident semble être en retard, voulu ou non, par rapport à ces innovations. L’industrie pharmaceutique semble avoir noyauté complètement toute possibilité d’envisager d’autres traitements. Il semble que Kennedy Jr remette en question l’hégémonie de cet empire. En tout cas, nous on essaie et les résultats sont prometteurs. On verra à la prochaine lune de sang.

Voisins du matin

En ouvrant la porte d’entrée ce matin, ma surprise fut grande de voir des moutons en face de moi. Ils ne disent rien, ils broutent sans relâche et entretiennent ainsi les terrains autour de la maison. J’ai cru lire que les rièzes étaient jadis non pas des cultures de riz mais des terrains trop pauvres pour la culture qui étaient utilisés pour produire du foin et faire paître les moutons. C’est une sorte de retour aux sources.

J’aime bien le côté paisible de ces animaux qui amènent de la vie tout en respectant le calme. Nos 2 petits moutons d’Ouessan ne rivalisent en rien avec ces véritables tondeuses sur pattes. J’avais pensé mettre des chèvres, ça mange tout mais c’est curieux et ça va toujours se mettre où il ne faut pas et elles vont se coincer les cornes dans les clôtures. Quand les terrains seront bien nettoyés, les moutons changerons de pâture pour laisser la place au printemps prochain à une herbe bien haute pour faire du foin, principale ressource du coin.

Je crois que notre environnement protégé des ondes est propice à ce type d’élevage non industriel. Nous sommes en zone NATURA2000 et dans un parc naturel en France. La frontière n’empêche pas les ondes mais crée une sorte de no man’s land économique qui ne justifie pas de couvrir l’ensemble de la région avec des antennes. Nous en profitons largement au niveau de notre zone blanche.

L’autre maison blindée que nous allons occuper est un peu plus exposée mais grâce à son blindage totalement supportable pour un EHS pour peu que l’on n’amène pas de la pollution intérieure avec toutes sortes de technologie.

C’est pas de saison

C’est vert ou blanc, Depuis 2019, nous n’avons pas connu d’hiver réellement rude comme nous raconte les anciens du village mais nous avons quand même eu droit à des paysages splendides. Les conditions de vie sont plus compliquées mais une petite soirée devant le feu de bois vous réchauffe vite le corps et le coeur.

Il faut prévoir de mettre la voiture en haut du chemin car le lendemain, on n’est pas certain de pouvoir remonter la pente sans l’aide d’un tracteur. Cela fait partie des inconvénients, mais si on est un peu prévoyant, cela n’enlève rien à la beauté du paysage et à la qualité de l’air. On se croirait en Suisse.

La maison est équipée d’une chaudière à mazout, d’un poêle à bois, d’un poêle à pellets et a été complètement isolée au niveau de la toiture. Le soucis est pour les animaux, il faut prévoir de la paille et de l’eau fraiche chaque jour. Mais quoi de plus comique que de voir la canne circuler ou les moutons faire des bonds dans la neige. Les grenouilles sont parties mais elles reviendront au printemps prochain avec leurs croassements.

Vivre à la campagne en pleine nature, c’est retrouver des habitudes ancestrales et des gestes oubliés comme déblayer la neige, c’est se vêtir chaudement en cas de gel intense. En été c’est faire bronzette en toute impunité sur la terrasse exposée plein sud. Ce n’est pas un mode de vie adapté à des citadins habitués à un confort plus moderne.

Un fouilli de photos

Avant de se décider de vendre la propriété, nous avions aménagé avec l’idée de louer et d’aller habiter dans la maison blindée un peu plus haut dans la rue. En définitive, nous avons loué la maison blindée et nous sommes restés 2 ans de plus dans la propriété. Depuis nous avons ajouté une chambre et transformé notre living en salle de couture et notre garage en atelier pour la fabrication de structures pour baldaquin. Nous avons remplacé la cassette à bois par un poêle et nous avons ajouté un autre poêle à pellet dans une chambre qui est devenue un bureau.
Il faut arrêter mes délires sinon je vais en faire un château.
L’endroit est si calme, l’environnement est si champêtre, la nature est partout présente et le voisin fermier a mis maintenant paitre ses moutons dans les prairies avoisinantes. Ces pâtures redeviennent des réserves de foin au printemps.

Le chauffage est assuré par une chaudière à mazout pour le principal et l’eau chaude et les 2 poêles nous servent d’appoint pour la mi-saison. Nous avions complètement isolé la maison au niveau toiture avant de construire la maison blindée.

Nous avons une exposition plein sud avec une terrasse de 35 m², qui se prolonge autour de la maison. Nous avons pu accueillir au dernier rassemblement 8 stands autour de la maison et un chapiteau. Ce n’est pas la place qui manque.

Vivre ici, c’est se couper des préoccupations du monde moderne, c’est prendre un autre rythme plus en contact avec la nature.