Découverte de l’Inserm

Je profite d’un peu de temps pour reprendre sur ma page facebook cet article de « zero wave zone ». Il parle d’une recherche récente.

Mai 2025 : l’onde de choc : C’est dans ce contexte d’échec scientifique généralisé que tombe la publication « Skin Fibroblasts from Individuals Self-Diagnosed as Electrosensitive Reveal Two Distinct Subsets with Delayed Nucleoshuttling of the ATM Protein in Common » dans l’International Journal of Molecular Sciences. Premier résultat majeur de la cohorte DEMETER, cette étude pulvérise littéralement 50 ans de certitudes scientifiques.

Quand les cellules parlent plus fort que les préjugés

Une étude révolutionnaire menée par l’ANSES vient de porter un coup fatal aux théories psychosomatiques sur l’électrosensibilité. Intitulée « Skin Fibroblasts from Individuals Self-Diagnosed as Electrosensitive Reveal Two Distinct Subsets with Delayed Nucleoshuttling of the ATM Protein in Common », cette recherche établit pour la première fois une définition moléculaire de l’EHS.

Traduction ? Vos souffrances ne sont pas imaginaires. Elles sont inscrites dans vos cellules.

Cet article trop technique pour mes capacités intellectuelles vient en tout cas conforter mon traitement actuel. Hier soir, j’étais en ligne avec Yves-Alexandre Rafalovitch, vice-président de AZB et médecin responsable du Comes, nous avons échangé sur l’utilisation de l’hydrogène comme anti-oxydant et aide substantielle aux EHS. Je suis convié début octobre à une visio sur le sujet devant le COMES de AZB.

Toujours dans le même contexte, une ami m’a ramené hier un inhalateur d’hydrogène que j’avais prêté et qui a commencé sa cure le 27/08/2025. Elle n’a pas pratiqué au même rythme que moi c’est à dire 2 fois 30 min par jour, mais elle a utilisé les mêmes doses. Elle m’ raconté hier qu’elle avait été à un cour de Yoga à Chimay, dans un endroit réputé assez exposé. Elle n’a rien ressentit et elle n’avait aucune protection et elle se portait à merveille. Elle ajoute que à aucun moment elle n’a pensé aux ondes, elle a fait sa pratique de Yoga normalement avec les autres et elle en a déduit que l’aspect psychologique jouait également un rôle dans le degré de sensibilité.

J’en conclus, j’ai mal, j’active mes mécanismes de défense et je déclenche une réaction amplifiée par mon cerveau. Je ne sens rien, je ne panique pas et je n’entre pas dans une réaction démesurée de mon organisme. Nous avons pu constater ces derniers mois des réactions disproportionnées chez certains EHS, je les justifie amplement par le conditionnement indirect de la douleur sur nos réactions et sur notre tempérament quotidien. L’EHS n’est pas d’origine psychologique mais a des conséquences sur notre fonctionnement quotidien dirigé par la peur.

Le traitement à l’hydrogène m’a permis une certaine prise de distance qui m’autorise maintenant une vie sociale moins agressive envers l’autre. Ne rien sentir, ne justifie pas de mettre de côté une hygiène électromagnétique constante.

L’éviction, dormir sous un baldaquin et l’hydrogène sont des outils quotidiens qui permettent de renforcer nos cellules et notre armée corporelle contre les agresseurs que sont les CEM et autres polluants. Cela me permet de maintenir et de renforcer mon système immunitaire, la meilleure arme contre l’ennemi. Ce sont mes drones ukrainiens face aux missiles adverses.