
Hier soir, j’étais occupé à souper tranquillement quand ce maudit téléphone a à nouveau résonner. J’espère que ce n’est plus pour une urgence, j’aimerais une soirée calme dans mes pantoufles. C’était un monsieur de la région de Bordeaux en France. Il avait de nombreuses questions sur les façons de se protéger des hautes et basses fréquences car il avait l’impression de griller de l’intérieur et ne savait plus à quel saint se vouer. Son baldaquin de protection ne suffisait plus (nature ondes) à le protéger et il ne dormait plus. Les tissus de protection deviennent inopérants à un certain degré de pollution et il va bientôt comme annoncé dans un précédent article passer à le double couche de protection.
Une amie de Bruxelles, dans une commune jouxtant la région flamande, est déjà passée à cette solution depuis l’installation d’un pylône 5G en face de chez elle, elle a également du renforcer son tapis de sol. Tous ces aménagements coûtent beaucoup d’argent et les solutions ne sont pas toujours adéquates car on se rend de plus en plus sensible et l’efficacité n’est pas toujours au rendez-vous. Fini, les grigris, les plantes miracles et les pierres magiques. Les fréquences pulsées sont là, avides de démontrer leur pleine puissance.
Le professeur Belpomme parle d’éviction comme solution, mais pour aller où ? Les zones blanches sont traquées pour être éradiquées totalement, tous les voisins ont du WIFI ou un DECT, se déplacer sans côtoyer un smartphone est devenu impossible. Nos enfants sont drillés depuis l’école à utiliser le numérique pour leurs devoirs ou pour pouvoir manger à l’école, …
Nous avons jusqu’ici réussi à échapper à cet enfer en vivant dans une zone blanche, en protégeant nos nuits par un baldaquin efficace et en nous traitant à l’hydrogène pour nous permettre de continuer à pouvoir faire des incursions dans le monde dit civilisé. J’ai peur que ces appels au secours ne deviennent de plus en plus nombreux et qu’hélas nous ayons de moins en moins de solution adaptée à proposer. En attendant, je vais aller snifer une bonne dose d’hydrogène pour doper mes mitochondries.