Je ne suis pas médecin

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J’ai hésité longtemps avant de rédiger cet article. Je ne suis pas médecin, je ne suis pas biologiste, en fait je me rends compte que si on ne fait pas partie de ce monde, on a intérêt à la fermer. Voilà 5 mois maintenant que j’utilise l’hydrogène pour réduire mes symptômes en tant que EHS. Les effets positifs sont concluants. Je sais pas comment ça marche, mais ça marche sur mon organisme. Je ne connais pas le processus et malgré plusieurs tentatives, je n’ai manifestement pas le niveau intellectuel pour comprendre le fonctionnement du cycle de Krebs et les implications sur les mitochondries. Je peux juste témoigner avec mes mots de mon expérience.

Hier soir, j’étais convié à une réunion chez AZB pour témoigner de mon vécu. Je devais exposer mon expérience devant un panel médical. J’ai rarement eu l’impression de ne pas faire partie de la même race. Il y en avait des très gentils et d’autres plus techniques. Je comprend, c’est leur métier à eux, c’est eux qui savent. En attendant, mon quotidien s’est amélioré pendant qu’ils continuent à inventer des mots savants pour tenter d’expliquer le processus. Moi, je vis, eux ils discutent.

Depuis mon enfance, je lutte pour exister avec une malformation que la médecine a mis 18 ans à identifier, j’ai pris des traitements pendant des années et malgré ces poisons, je suis toujours là. Mon corps résiste, il résiste de toutes ses forces contre les vaccinations, contre les dérives médicales, etc…

Le destin m’a mis en présence de la solution hydrogène pour m’aider dans mon quotidien d’EHS, avant ce là, j’avais expérimenté les moyens techniques pour me protéger, les blindages, les vêtements, l’hygiène électromagnétique, … Le coupable était tout désigné, la pollution électromagnétique ajoutée à toutes les autres sources de pollution. Mon vase était plein, il débordait et pourtant le corps médical avait encore besoin de preuves scientifiques pour faire le lien . Nous sommes maintenant des milliers à souffrir de notre environnement pollué mais pour agir, il faut encore le prouver. Lerat le bol.