
Ce 3 novembre est une date à retenir pour un EHS. Un test à grandeur nature débute ce jour pour les EHS. Nous n’appliquerons pas le principe de précaution et nous ne mettons la vie d’aucun animal en jeu.
Il y a maintenant 6 mois, je commençais à me traiter à l’hydrogène pour mon problème d’électrohypersensibilité. Mes ressentis et mes symptômes font maintenant partie du passé. Cela m’a permis durant ces derniers mois de voyager et de participer à une journée bio-convergence à Tours. Mon problème est que maintenant, je ne ressens plus les ondes, ce qui m’oblige à renforcer ma vigilance par rapport à cette pollution omniprésente. Mon épouse à commencé le traitement en aout 202, soit il y a 3 mois. Elle avait à l’époque émis le désir de retravailler et elle a obtenu un job dans une petite ville de France près de chez nous. Elle a donc commencé à pratiquer l’hydrogène pariant sur mes résultats. Il aura fallu 3 mois pour que les administrations françaises lui fournissent les documents nécessaires pour commencer à travailler (vive l’Europe) et son contrat commence aujourd’hui. Elle a fait une petite séance avant de partir bosser et elle va se retrouver dans un immeuble situé près de la gare de la ville avec une antenne à 100 m. Les prochains jours seront parlants sur l’efficacité de l’hydrogène. J’ai le coeur serré en pensant à elle et j’espère que cela va bien se passer.
L’hydrogène n’est pas un médicament, c’est juste une façon d’aider nos cellules à combattre le stress oxydatif via le travail des mitochondries qui ont besoin de l’élément H+ pour fonctionner correctement. Pour les baldaquins, je fais souvent la comparaison avec un sous-marin, ici je vais comparer à une barque qui se remplit en permanence de radicaux libres suite aux différentes pollutions et l’H+ à une écuelle ou une pompe qui permet d’évacuer ces radicaux pour ne pas laisser cette barque sombrer. Mon expérience isolée peut avoir d’autres explications que l’H+, mais différents témoignages commencent à me parvenir et m’encouragent à persévérer dans cette voie.
Le fait de ne plus ressentir, de ne plus jouer au canari jaune de la mine, n’empêche pas notre corps de continuer à être influencé par les ondes mais permet de reprendre une vie sociale plus ou moins normale. Il faut toutefois rester très prudent et continuer à avoir une hygiène électromagnétique drastique et privilégier un sommeil bien réparateur. C’est vrai, notre cas est un peu biaisé car notre environnement est une zone blanche et que dans notre vie quotidienne, nous réduisons au maximum les risques d’exposition. Pas de smartphone, pas de WIFI, pas de DECT, … cela pose naturellement des problèmes face à l’omniprésence de ces outils dans la vie quotidienne moderne et cela sera encore plus compliqué dans le futur.
Hygiène électromagnétique (pas de smartphone), nuits réparatrices (baldaquin de protection adapté) et traitement à l’hydrogène sont les trois éléments qui nous permettent de vivre normalement dans cette pollution croissante.