Chemin des pissenlits

chemin des pissenlits

Pour arriver chez nous, il faut descendre le chemin des pissenlits, ils sont en pleine floraison en ce début de printemps et colorent de pointes de jaune le vert des prairies. En haut du chemin se situe le musée du grand méchant loup, initiative d’un passionné des jouets et réparateur de poupées cassées. La population locale compte quelques âmes à 2 pattes et un grand nombre de quadrupèdes. La vie en confinement s’écoule ici lentement à l’écart des virus et des ondes.

Tous mes projets sont en suspens, la tente de protection est bloquée chez une EHS, mes instruments de mesure sont éparpillés et le motor-home attend en vain son prochain visiteur EHS. Le projet de construction d’un second lieu de vie pour EHS est en berne et les difficultés administratives (notaire, urbanisme) risquent de décaler ce projet d’un an.
La réunion de l’ARHES prévue chez moi en avril a été reportée et les conférences sont annulées.

Pourtant, il est important de continuer à se manifester et à informer sur la nocivité des ondes électromagnétiques, surtout en ces temps de développement de la 5G et de ce projet de traçage via les smartphones et la technologie bluetooth. J’ai écrit à l’ISSEP, à mon bourgmestre et au journal LE SOIR. Ces actions restent lettres mortes et j’imagine qu’ils ont tous d’autres sujets de préoccupation. Je vous laisse, je retourne bouffer mes pissenlits par la racine.

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