Apprendre à se protéger

Photo de Engin Akyurt sur Pexels.com

Hier, nous avons été prendre des mesures dans un logement supposé protégé. Beaucoup d’argent a été consacré à mettre ce logement à l’abri des ondes. Un mur a été peint avec de la peinture de protection, certains câbles ont été blindé pour l’électricité et d’autres mesures coûteuses ont été mises en oeuvre comme des tentures ou des tissus. Tout cela représente un énorme investissement pour obtenir un lieu de vie pire que si rien n’avait été fait.

Le premier investissement gratuit est le changement de nos comportements en évitant d’introduire des sources de pollution supplémentaire dans notre lieu de vie. Etre EHS suppose des modifications drastiques dans notre façon de vivre. C’est une atteinte à nos libertés mais à défaut de solutions pérennes, seuls nos comportements peuvent modifier notre susceptibilité aux ondes. Ce sont des habitudes, des machines des façons de procéder qu’il faut pouvoir remettre en question. Rendre notre logement sain est ensuite le deuxième investissement, c’st bien entendu éliminer toutes les ources de haute fréquences à l’intérieur de l’habitat et là des appareils de mesure peuvent nous aider à identifier et corriger les sources de ces émissions. Les appareils électriques quotidiens sont maintenant truffés de technologies sans fil et souvent à nos dépens. Il n’est pas nécessaire de faire appel à un spécialiste des ondes pour identifier toutes les sources, un peu de bon sens et un Cemprotec 31 à moins de 100 € vous éclairera déjà sur de nombreux problèmes.
Concernant les basses fréquences, vous ne pouvez pas toujours défoncer vos murs pour changer les câbles en câbles blindés. La distance est notre alliée pour réduire notre exposition, la distance est valable pour les champs électromagnétiques et l’électricité sale. Débrancher certains appareils non utilisés élimine aussi un grand nombre de sources. Vous pouvez avec un simple multimètre mesurer votre tension induite et vérifier l’efficacité des mesures prises.
Enfin, ce qui vient de l’extérieur est plus difficile à contrôler, vu la multiplicité des sources. Protéger un mur ne suffit pas, il faut penser aux fenêtres, aux aérations, aux plafonds, au sol, etc… Bref un travail fastidieux qui s’il n’est pas bien pensé et réalisé risque de vous coûter beaucoup avec un résultat pas toujours à la hauteur des besoins de votre corps.

Nous solutionnons cette difficulté en concentrant notre énergie sur les lieux de repos avec une solution abordable, facile à mettre en oeuvre et transportable. Nous vous invitons à notre atelier baldaquin du 24/03/2024. Inscription obligatoire et places limitées. Participation aux frais 10 €; Inscription par mail : Regine.Caxton@proximus.be avant le 18 mars.

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