On fait quoi ?

On fait quoi ? On écrit pour se donner bonne conscience, tout en sachant que cela ne change rien comme dans le cas de Philippe Tribaudeau en France et tous les cas quotidiens qui se tournent vers nous. En janvier, nous avons reçu une dame qui avait perdu son domicile, en février c’était une Hollandaise qui ne savait plus où se réfugier et cela a continué durant toute l’année 2023. Nous avons arrêté l’accueil car s’était trop lourd à gérer pour notre petite association et nous nous sommes tournés vers la protection individuelle à domicile.

Comme pour le réchauffement climatique, nous devons apprendre maintenant à protéger nos logements contre la pollution électromagnétique. Vous ne ressentez rien, pas de panique, ça viendra et il sera alors trop tard comme pour de nombreux EHS maintenant.

Ecrire des lettres aux politiques, s’auto torturer par des régimes ou des traitements miracles ne sert pas à grand chose, payer des fortunes en analyses médicales ou mettre une puce sur son smartphone ne sert à rien.

Nous devons protéger nos logements et à l’aide des associations pouvoir mettre à disposition des kits d’urgence pour les cas les plus difficiles et les plus urgents. Les solutions actuelles du marché sont malheureusement onéreuses et peu pratiques en matière de mise en place. Les tissus proposés ne sont plus toujours adaptés à la pollution actuelle. Les associations ont des problèmes financiers et sont rarement soutenues en dehors des cotisations de leur membres. La détresse humaine est pourtant là et risque de s’accroitre rapidement face à cette généralisation de la 5G et l’arrivée de la 6G. WIFI et autres technologies sont également une source de pollution omniprésentes dont il est difficile de se prémunir.

Mettre en place un système d’aide et de prévention est une urgence sanitaire à mettre en place par les associations. Il faut bien entendu en parallèle continuer le combat juridique et médiatique.