


Que ce soit à Bruxelles ou à Paris, les studios d’enregistrement ne sont vraiment pas des endroits à privilégier pour des EHS. Pourquoi y a aller alors ? La seule façon d’agir pour moi est de clamer haut et fort la dangerosité de la pollution électromagnétique dans notre quotidien. Ma vie se déroule paisiblement à l’abri des ondes dans une zone blanche, c’est égoïstement bien pour ma famille mais à des années lumières de la situation vécue par les EHS en ville.
Il faut témoigner contre un système mais pour cela il faut des outils et notre baldaquin nous permet d’affronter les pires conditions et de témoigner en direct. C’est une goutte d’eau, j’en suis conscient mais cela finira par former une flaque et ensuite un torrent.
Le baldaquin continue à évoluer techniquement, il passe maintenant par une nouvelle phase de nouveautés pour faciliter l’assemblage et pour encore améliorer l’herméticité. Nous testons encore et encore pour arriver à un produit performant, respirant et transparent tout en essayant de garder un prix abordable pour les EHS.
Ce produit fait face actuellement à un accroissement de la demande qui est à mettre en parallèle avec l’augmentation de cette pollution. A vrai dire, mes rapides passages en ville me confortent malheureusement dans l’idée que vivre en milieu urbain conduit à une mort certaine et je ne comprend pas comment la population ne fait pas le lien.
Deux jours après notre passage à Bruxelles, nous commençons seulement à récupérer doucement. Mon cerveau refusait de fonctionner et notre vie durant ces 2 jours étaient purement en mode automatique.
A la prochaine émission.