
L’image de ce texte a été prise à proximité de Nismes en Belgique C’est un site géologique unique dont la photo devait me servir à illustrer des recherches que nous faisons actuellement pour trouver des sites à visiter pour permettre aux EHS de sortir à l’extérieur dans des endroits non-exposés. Nous recensons actuellement différents lieux et allons mesurer sur place pour vérifier l’innocuité de l’endroit.
Seulement voilà, hier soir, un appel de Paris vers 20h30 et une personne en larmes au téléphone. Cette personne me décrit à grand peine sa douleur et son récit poignant me fait immédiatement penser à ces paysages torturés que nous avons observé. Il me décrit comme des pierres saillantes qui lui traverse la peau et cisaillent son corps. Il me parle de brûlures et de l’impression que sa tête est prête à exploser. Il s’est présenté aux urgences d’un hôpital et il a été mis dehors avec le conseil d’aller voir un psy et de prendre un anti-douleur. Son témoignage a duré une bonne dizaine de minute et j’étais totalement impuissant. Le seul endroit où il trouvait un peu de répit se trouvait dans les caves du conservatoire. Dans son appartement, il n’arrivait plus à dormir et il était obligé de se réfugier dans ces caves pour trouver un peu de repos.
Des témoignages comme le sien, j’en reçois en permanence, des études prouvant les effets pervers des ondes, j’en lis tous les jours, et pourtant rien ne bouge dans un univers numérique qui ouvre grand les portes à la 5G et à la consommation de données. Mais où est l’être humain dans tout cela ? Où est encore la place du vivant ?