
Sous notre petit parasol, nous étions nombreux à évoquer nos problématiques quotidiennes par rapport aux ondes. Ici, pas de politique ou de vaines promesses, juste des EHS qui tentent de trouver des solutions concrètes quotidiennes à leur existence. Ici, personne n’a été gêné par les ondes car c’est une chose rare sur terre, une zone blanche. Ici, pas de titres ou de statuts, juste des individus en quête d’une solution de vie. Ici, pas de Monsieur ou de Madame, juste des humains égaux devant le même désarroi. Nous étions contents de rencontrer des gens comme nous, nous parlions le même langage (avec parfois des sonorités étrangères), nous nous comprenions. Nous ne sommes pas malades, la preuve, dans un endroit préservé de la pollution électromagnétique, nous vivons normalement. Cela s’appelle une étude provocation positive qui devrait inspirer les études dites scientifiques qui essaient de nous répertorier et de nous classer suivant des expériences biaisées dès le départ.
Ma question est, pourquoi faut-il des initiatives privées pour apporter ces moments à notre vie d’EHS ? Où sont les grandes idées, les associations, les porte-paroles ?
Vous faites des réunions dans la Drôme pour constater que vos requêtes auprès de l’Anses sont restées sans réponses. Vous attendiez naïvement quoi ? Un rassemblement de milliers d’EHS serait plus utile que vos tergiversations politiques. Cela aurait plus d’impact au niveau public.
Non, je ne suis pas malade des ondes, je suis malade de votre inaction et reste un esprit sain avec un corps sain dans un environnement sain.