Je n’ai plus envie de rire

Jusqu’à présent, j’ai joué les types sympa. J’ai par le truchement du contre-pied voulu amener à une sorte de conscientisation. Fin du jeu. On doit se bouger maintenant. Les scientifiques nous ont amenés suffisamment de preuves de la dangerosité de ces technologies sans fil. Ils attendent de nous de propager leur message obstinément éluder par nos dirigeants. L’argent règne en maître et à travers les lobby dirigent les orientations de nos politiques. La terre a rarement dans son évolution connu un tel danger de disparaître et nous sommes tous complices.

Je ne sais pas qui dirige effectivement quoi et je ne connais pas les réels tenants et aboutissants de cette furieuse politique de destruction systématique de notre monde. J’ai conscience au fond de moi d’être un être humain et d’être venu sur cette terre pour faire le bien. Je suis désespéré de voir ce monde courir à sa perte sous le joug de quelques vieillards occupés à compter leurs sous et de quelques jeunes loups avides de piquer le reste de nos richesses.

La préservation de la vie sur cette terre est une valeur non monétaire et le respect de la vie en général est une donnée incontournable de la cohabitation entre les espèces. Nous sommes à la fin d’une civilisation et la chute va faire mal au-delà de l’imaginable. Il n’y aura pas de gagnants ou de perdants, il y aura juste des victimes. Jetez vos GSM, coupez vos WIFI, refusez les compteurs et criez très fort votre droit à la vie. Je persiste et signe, je m’appelle la VIE.

Le risque zéro

brouilleur

Le risque zéro n’existe pas et les technologies du sans fil ne sont pas à l’abri de différents problèmes. Les pylônes d’antenne émettrice sont pourvus de générateur de secours en cas de panne mais en sera-t’il de même pour les petites antennes réémettrices placées sur les abri bus, les lampadaires ou les espaces publicitaires ? Je ne crois pas et nos pays ne sont jamais à l’abri d’une coupure de courant (j’en ai déjà eu 4 depuis que j’habite dans la région de Chimay). Le black out dont certains ont fait les choux gras quand nos centrales étaient HS est un risque important en Belgique compte tenu de la vétusté de nos réacteurs fissurés et de la demande croissante en électricité.

Les intempéries, les rongeurs sont des risques inhérents à toute activité humaine et pas toujours pris en compte dans leurs limites extrêmes (Fukushima). Un autre risque plus moderne est le terrorisme des ondes par le contrôle des réseaux ou le brouillage des signaux. Installer un brouilleur 5G à un carrefour piloté par les ondes et vous m’en direz des nouvelles sur la fluidité de la circulation.

Musk a raison, son système de 5G par satellite a peut-être moins de chance d’être perturbé par un quidam sur terre. A noter qu’il est quand même amusant de constater que l’on doit envoyer des missions pour nettoyer 3000 débris de satellite dans l’espace et que l’on va rajouter plus de 40000 satellites. Le risque zéro n’existe pas, il peut être mis en place des précautions mais ce qui provoque la catastrophe est rarement imaginé à l’avance. Les voitures sans conducteur n’ont pas encore prouvé leur fiabilité à 100 %. Je ne prône pas l’utilisation de ces brouilleurs pour les EHS car les ondes émises sont aussi nocives que les ondes perturbées, mais j’avoue qu’à l’époque où je subissais les WIFI des voisins, l’idée m’a furtivement parcouru l’esprit.