Nous sommes trois milliards d’humain sur cette terre a être confinés. C’est la plus grande prison du monde. Depuis des semaines, à travers le monde, le discours est le même : « suivant l’avis des experts, sous le couvert des scientifiques, … Nous prenons la décision suivante. » Comment des gens formés à reproduire les mêmes types de schémas et de raisonnements peuvent se targuer du rôle d’expert. Et puis, experts en quoi, en statistiques, en chiffres, en budgets ?
Notre monde s’est construit sur l’expertise de quelques pontes qui ont mis au point un système d’évaluation par les pairs comme principe fondamental de la recherche scientifique avec des lectures et des relectures. Peu à peu, ces scientifiques dont la sagesse ne peut être remise en doute sont courtisés par des politiques, des entreprises et des intérêts financiers. Le résultat le plus craint est l’ICNIRP et ses résultats rassurants sur la dangerosité des ondes.
Le politique n’est pas responsable, il s’est basé sur l’avis des experts et des scientifiques pour justifier ses prises de décision. La recherche n’est correctement financée que dans les secteurs les plus prometteurs en termes de « return on investment » les plus rapides. Pour le reste, des coupes sombres sont opérées dans des budgets de recherche sur le bien-être du vivant en général.
Chaque jour, des experts nous abrutissent, sur un ton monocorde, de chiffres de contagion et de décès pour justifier encore et encore des mesures de confinement. Les avis divergent sur les chiffres et la façon de présenter ou d’interpréter ces résultats. Mais derrière chaque chiffre se cache un humain, une vie.