
Un lieu de vie pour EHS a pris un sérieux coup dans l’eau cette semaine. Je ne vais pas me plaindre, nous n’avons pas de dégâts, la prairie est juste un peu trempée et cela amuse beaucoup les moutons. Le réverbère est éteint, un peu comme de nombreuses antennes dans les régions inondées. En effet, il faut du courant pour faire fonctionner cette technologie et les antennes sont généralement dotées de groupes de secours en cas de panne électrique, mais quand le groupe est sous eau, plus rien ne marche . Comme toutes les antennes sont reliées entre elle soit pas fibre optique, soit par réseau hertzien, le tout décomposé en zones ressemblant à un cadre d’abeilles, quand ça commence à foirer, ça met à mal l’ensemble du système et c’est la panne. Je n’ose imaginer les voitures autonomes en 5G avec des antennes tout les 150 m et une panne électrique due à une cause naturelle. Ca va être le bordel. Les nuisances sanitaires sont un aspect du problème, la cybersécurité un autre problème majeur mais la coupure de l’électricité va conduire nos voitures électrique autonomes droit dans le mur. Je crois dans le progrès technologique quand il se justifie mais pas quand il sert à faire tourner les usines et à écouler au niveau planétaire des objets dont nous n’avons aucun usage. Je ne dis pas cela par manque d’imagination sur leurs potentiels mais plutôt par rapport à l’aspect vénal qui engendre et promeut leur mise sur le marché.
Suite à mon article et mon passage à la radio, une TV devrait suivre, j’ai de nombreux appels de personnes qui se découvrent EHS. Les questions sont toujours les mêmes et le manque d’informations sur un phénomène inconnu du citoyen lambda semble poser problème. A nous, les EHS d’y remédier.