La géobiologie et les hautes fréquences

Je ne vais pas me faire que des amis avec ce court texte. Il se fait que mon chemin croise de nombreux géobiologues depuis quelques temps. Ils veulent m’aider à apporter du mieux être aux EHS en souffrance. Paradoxalement, certains me demandent s’ils doivent éteindre leur smartphone en ma présence et je dois expliquer comment le désactiver complètement. J’ai suivi des cours de géobiologie, je me suis formé aux baguettes, au lobbe de Hartmann et à l’antenne de Lecher, j’ai même pratiqué le pendule et toutes ces sortes de choses pendant longtemps. Seulement voilà, pour les hautes fréquences, vos pendules, vos correcteurs, vos fils de cuivre autour de la maison, vos pyramides et autres grigris ne servent pas à grand chose. Le fait d’avoir une quelconque formation en géobiologie ne dit rien sur vos qualifications en hautes fréquences et sur les moyens de s’en prémunir. Vous pouvez, certes, trouver les failles, les sources et les différents réseaux mais avec vos instruments basés sur des conventions mentales, vous aurez bien du mal à déterminer la source d’émission d’une pollution électromagnétique.

Nous devons, et je le regrette, nous en remettre à des appareils onéreux et pas toujours simples à maîtriser pour identifier et se protéger des sources de nuisance modernes. Il afut également faire appel à des technologies qui permettent de combattre efficacement ces nuisances et savoir les mettre en oeuvre correctement pour en espérer des résultats probants.
Géobiologue et chasseur d’ondes sont des métiers différents avec des équipements spécifiques. On ne prend pas la température avec un tensiomètre. On ne mesure pas une longueur d’onde en Bovis.

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