
Notre plus gros challenge dans ce premier rassemblent international n’est pas l’organisation en soi ou le fait de contacter les personnes directement concernées MAIS d’en faire écho auprès de la population en général. Nous n’intéressons pas les média car nous sommes une quantité négligeable de plaintifs dérangés du ciboulot. La journée mondiale imaginée par Magali Lesure, les nombreux sites qui émergent un peu partout, les manifestations et le grand rassemblement que nous organisons sont des moyens d’ouvrir le débat sur la problématique des ondes et ses dommages directs et collatéraux. C’est en collaboration avec les associations, les comités citoyens et les initiatives locales que nous réussirons à faire évoluer les choses. Etre EHS, ce n’est pas seulement être recroquevillé dans sa bulle de protection pour arrêter de souffrir, c’est à un moment pouvoir dire en unissant le reste de nos énergies que ces technologies sont nuisibles pour l’humain, la nature et la vie sur terre. Rapprochez-vous de vos associations locales, casser les oreilles de votre famille et de vos voisins avec cette problématique générale. Restez informé et partagez. Un grain de sable dans le désert est voué à l’oubli, une montagne de sable, cela fait une dune et il suffit alors d’un simoun pour que cette dune déferle sur l’ensemble du territoire. Un grain de sable dans un sablier voit le temps s’écoulé inutilement dans sa bulle de protection.
Les dernières tempêtes de sable au Sahara ont laissé des grains sur le capot de ma voiture en Belgique.