J’aime bien ce mot idiopathie, selon wikipedia :
Idiopathique du grec ἰδιοπάθεια, affection qu’on éprouve pour soi-même) est un adjectif utilisé en médecine qui indique :
- soit une maladie ou symptôme existant par lui-même (c’est-à-dire sans lien avec une autre maladie),soit une maladie ou symptôme dont on n’a pu attribuer la cause.
Ma définition pour ce mot est nettement moins scientifique : « maladie objectivée dont la cause est volontairement ignorée afin d’éviter de nuire aux intérêts de certains groupements industriels ». Ce terme est couramment utilisé dans le domaine des télécommunications et des pesticides. Les EHS sont particulièrement concernés par cette dénomination. Le corps médical a été formaté à ne retenir que la première partie du mot « idio » et ce malgré les preuves scientifiques innombrables amassées par des spécialistes de la question.
L’article de L’Obs : « Enfants : leurs fonctions cognitives affectées par les ondes électromagnétiques » au titre accrocheur est dans ses conclusions tirée de l’Agence sanitaire des plus équivoques et renvoie à nouveau à la responsabilité à l’utilisateur.
Heureusement, des médecins se regroupent et sortent du lot comme l’appel lancé par Hippocrate electrosmog appeal et ce malgré les menaces orchestrées par l’ordre des médecins, garant du temple. Pensons au professeur Dominique Belpomme et à une autre doctoresse objets de l’ire de cette institution. J’ai décidé de les soutenir et de consacrer dorénavant la totalité de mon site à cette problématique en abandonnant temporairement sa vocation première. Ce travail de réorganisation ne se fera pas en un jour. J’ai publié un peu plus d’une cinquantaine d’articles à ce jour sur le sujet des EHS et je continue à oeuvrer de façon journalière à la reconnaissance des origines de cette maladie. Je travaille en coopération avec de nombreuses associations et je mets tout en oeuvre en fonction de mes moyens pour mettre à disposition une zone blanche et du matériel aux personnes les plus impactées. Je ne tiens pas à apparaître comme un complotiste de salon planqué derrière son clavier et je participe volontiers à des conférences et à un soutien effectif sur le terrain.
L’EHS n’est pas une maladie d’idiots comme on pourrait le sous-entendre phonétiquement mais plutôt une maladie de gens sensibles et intelligents qui réfléchissent encore et toujours à l’avenir de l’humanité. « Une vie pour les EHS » est le nouvel intitulé de ce site, il est inspiré d’un petit regroupement d’EHS en juin de cette année dont la réflexion portait sur l’aide possible à apporter aux EHS.