Les promotions et les appareils arrivent, abonnement à prix réduits, smartphones bradés, promesses d’un monde meilleur au niveau médical, délai de latence faible, plus de data, etc… Notre âne buttera-t’il à nouveau sur la même pierre ? NON si nous l’informons. Notre attention est actuellement focalisée sur cette technologie 5 G qui nous pend au nez sur terre comme dans le ciel. Il ne nous faut pas pour autant oublier les autres technologies qui nous pourrissent déjà la vie. Ce sont nos premières sources de pollution à la maison comme sur le lieu de travail.

Une lame de fond est occupée à se propager en Belgique grâce au travail en profondeur de quelques médecins qui réunissent maintenant plus de 1000 professionnels de la santé. Ils sont rejoints par des biologistes. Ils ont réussi à faire paraître des articles dans la grande presse et à sensibiliser le citoyen lambda. Conférences, articles, rumeurs, sont les clés de voûte de notre action. Il faut informer. Aidons notre âne à ne pas butter sur la même pierre.

Hier soir, j’avais rendez-vous avec un terrassier local pour discuter de l’accessibilité du terrain que je veux aménager pour les EHS. Par un hasard, que je ne m’explique pas, le sujet dérape sur les ondes et le monsieur me fait part de ses inquiétudes avec la 5 G. Il a peur d’être impacté et se demande comment on va s’en protéger. J’entre alors dans une brève explication avec différents détails. Le JP du coin vient se joindre à notre discussion et le sujet dérape sur le WIFI et les DECT. Au final, je suis invité à aller mesurer les ondes chez le terrassier et le JP va m’organiser une conférence sur le sujet dans le village pour l’après confinement.

Je ne sais toujours pas comment je vais rendre mon terrain accessible mais j’ai l’impression d’avoir semé quelques graines de carottes et les carottes ça fait avancer les ânes. Discuter, informer et boycotter, c’est un vrai travail de terrain, il faut travailler la terre pour pouvoir semer. Je suis dans une période très potagère et ça pousse.

Je reçois des commentaires assez pessimistes comme quoi face à ce déploiement numérique, il n’y a rien à faire et que les carottes sont cuites. Je reçois également de nombreux témoignages d’encouragement et cela me motive à continuer. Les carottes ne sont pas cuites, on a énormément d’atouts dans notre jeu mais nous devons jouer cela finement comme une partie d’échec. Il faut absolument se départir de cette connotation de terroriste qui nous colle maintenant à la peau. On doit à travers des articles raisonnés reconquérir la sympathie du grand public.

Je constate que mes initiatives individuelles interpellent de plus en plus mes contacts et les gens prennent spontanément des précautions à mon égard. Le sujet interpelle et nous devons nous préparer à répondre sérieusement aux questions. La majorité des gens ne savent pas et nous devons informer. Le but n’est pas de convaincre à court terme mais de semer des graines de carotte. Tout le monde connait quelqu’un qui connait quelqu’un qui est EHS. Nous ne sommes pas des pestiférés agitant une clochette pour prévenir de notre passage comme les lépreux. Non, les carottes ne sont pas cuites.

Etrange journée, entre les contacts avec des EHS et le rappel à l’ordre des autorités par rapport aux complots terroristes, mon coeur balance et je ne sais que choisir. Je reste persuadé que cela était une erreur de se réjouir de la destruction des pylônes, il faut d’autres modes d’action. Je reviens donc à mon idée de boycott, on ne peut pas nous obliger à consommer ou à acheter des objets qui arborent ces nouvelles technologies.

Dans mon esprit, ils sont dangereux car ils vont créer une espèce de toile d’araignée de faisceaux dirigés et en plus ils sont inutiles. On se retrouve un peu dans la situation de l’IRA en Irlande qui avait un bras armé qui le rendait infréquentable et une section plus diplomate qui a toujours privilégié la négociation. Attention, négocier ne veut pas dire tout accepter. Nous avons maintenant suffisamment de preuves de la dangerosité de ces technologies pour avertir le grand public. Grand public qui écoutera nos dires si nous ne sommes plus assimilés à des décervelés du ciboulot terroristes.

Revoyez vos habitudes de consommation et faites le bilan de ces objets autour de vous, ils empoisonnent votre vie.

Je vais dire comme nos épidémiologistes, ce n’est pas le moment de relâcher la pression.
L’article de nos médecins belges et maintenant de biologistes dans la grande presse laisse entrevoir un début de prise de conscience parmi les citoyens. Nous devons appuyer là où ça fait mal, le portefeuille et la santé. J’ai déjà appelé à jeter à la poubelle vos GSM, vos smartphones et vos abonnements. J’attire maintenant votre attention sur tous ces objets « smart » qui sont proposés au quotidien, de votre pèse-personne à votre grille-pain en passant par des écrans géants, ils veulent tout connecter.

Le seul objet « smart » chez moi, autrement dit intelligent et sans prétentions aucunes , c’est moi. Je suis capable de tourner un bouton, de régler le thermostat de mon chauffage ou de baisser un store. Ne créons pas un besoin de la 5G en nous ruant sur des objets liés à cette technologie dont nous nous passons actuellement.

J’insiste aussi sur l’information via des conférences dans un maximum d’endroits. Je suis disponible et je ne demande rien, mon seul désir est d’informer et de faire des émules. J’ai 2 demandes pour la fin de l’année, mais c’est trop peu. Bougeons-nous.

La tente de protection circule depuis octobre 2019. J’ai certains retours négatifs sur son utilisation et quand je questionne un peu, je me rends compte de sa mauvaise utilisation. Je vais donc apporter quelques précisions. La tente est fournie avec un tapis de sol à raccorder à la terre, cela est précieux si vous dormez à l’étage sur une structure plancher bois. Les ondes sont pernicieuses et le bois est poreux aux ondes de par sa structure moléculaire. Le tapis se place sous la tente et pas dans la tente. Il déborde largement pour permettre au voile de protection de le recouvrir.

Le voile de protection de la tente est renforcé de différentes lanières qu’il faut bien nouer pour rendre la tente totalement hermétique. Nous avons affaire à des ondes centimétriques et bientôt sans doute millimétrique. Il ne faut rien laisser passer. Imaginer les tentures de votre chambre et un spot lumineux qui éclaire votre fenêtre, différents rayons de lumière vont pénétrer dans votre lieu de repos sauf si vous occulter complètement et parfaitement la fenêtre.

Une dernière chose, certaines personnes dorment avec un voile sur eux et se plaignent d’inefficacité et de picotements. Le voile ne doit pas entrer en contact avec la peau. Je ne préconise aucune marque, j’attire juste l’attention sur la fiche technique du produit et son atténuation exprimée en db. Notre tente est fournie avec un testeur qui permet d’évaluer l’efficacité de la protection à l’intérieur de la tente.

Pas de smartphone, pas d’antenne. La multiplication des antennes est directement liée à une demande économique stimulée par une habitude de vie installée dans la population. En juin 2018, j’ai rendu mon abonnement et viré mon GSM. Je ne pouvais pas en toute logique continuer à utiliser un appareil qui me faisait mal et dont je connaissais la dangerosité. Cela a légèrement perturbé mes habitudes et mes contacts, mais après presque 1 an de non-utilisation, j’ai adapté ma façon de communiquer et mon entourage s’est habitué.

Je suis sidéré par le nombre de personne EHS qui continue à me contacter avec un smartphone ou un GSM. Quand je fais la remarque, on me dit que c’est pour raisons familiales, par besoin de sécurité au cas où, pour un ensemble de motifs … Soyons logiques, un smartphone a besoin d’une antenne pour établir la communication comme votre téléphone filaire a besoin d’une prise pour être connecté. Il est donc illogique de se réjouir de la destruction de pylônes et dans le même temps de se plaindre de cette technologie nuisible à la santé.

J’ai changé mes comportements pour m’adapter à ce monde numérique et je reste cohérent dans mes actes. Pas de smartphone, pas d’antennes. Pas de demande, pas d’offre. Continuons à informer les citoyens lambda et montrons l’exemple.

Non, je ne vais pas me crasher sur une antenne avec un avion de ligne. J’exprime seulement mon droit à refuser une technologie imposée par l’industrie. Je ne désire pas de ce monde-là. Des médecins, des scientifiques tirent la sonnette d’alarme et personne n’écoute. Alors, une population fortement impactée par la nocivité de ces technologies finit par se révolter et à passer à l’acte. Je n’approuve pas, mais je comprends.

J’ai adopté mon mode de vie depuis un an à ce monde numérique, je me suis confiné. J’ai limité mes sorties, je n’ai ni smartphone, ni DECT et j’ai coupé le WIFI pour privilégier les solutions câblées. J’ai fait un choix de vie de qualité, merci de le respecter.

J’avais déjà écrit que se réjouir de la destruction d’antennes nous conduirait à être considéré comme des terroristes et que cela rendrait notre tâche d’information encore plus difficile vis à vis du citoyen lambda. Rappelez-vous de l’assimilation dans les esprits des mots négationistes, complotistes et terroristes. Ce sont des concepts différents mais qui ont été globalisés après l’incident des deux tours. Cela a conduit au « Patriot act », loi anti-terrorisme avec tous les droits à un seul Etat. Je ne veux pas de ce monde-là.

Le temps du déconfinement approche et je vais pouvoir récupérer la tente pour la remettre à disposition des EHS. Je pourrai également récupérer mes instruments de mesure et me concentrer sur les prochaines conférences. La bataille contre la 5G est une chose mais n’oublions pas pour autant notre lutte contre les sources de pollution électromagnétique existante, WIFI, DECT, Bluetooth et autres générations d’antenne.

Je pense que le débat sur la 5 G doit maintenant se répercuter auprès du grand public et par la même occasion informer des nuisances existantes. L’organisation de conférences sur le sujet reste pour moi l’action la plus efficace en contact direct avec la population.

L’action des médecins belges est également à soutenir et à faire connaître, c’est notre seul argument médical à opposer à l’ICNIRP, bras armé de l’OMS. Je rappelle également les actions plus locales de petits groupes comme « une vie pour les EHS » qui apportent de l’écoute et des conseils aux nouveaux arrivants. A nous de nous organiser et de ne pas laisser tomber les bras. En ce qui concerne les pétitions et les manifestations, je n’y crois plus trop, ce sont pour moi de fausses pistes pour nous faire croire que nous avons encore un droit d’expression dans une parodie de démocratie. Bon déconfinement à tous.

Je n’y comprends plus rien, on fait dire aux chiffres ce que l’on veut et les grilles de lecture dépendent de la force du vent, de l’âge du capitaine et de la longueur des cheveux. Si ma force morale réside comme pour Samson, dans la longueur de ma chevelure, je dois être au top. L’article paru dans la Libre Belgique a retenu toute mon attention. Les médecins de Hippocrates-electrosmog-appeal font un travail en profondeur qui me semble être la bonne voie pour sensibiliser un maximum de la population.

J’espère récupérer la tente de protection sous peu et la remettre en circulation. Mon projet de logement pour EHS prend enfin forme et les idées ne manquent pas. Petit bémol dans mon optimisme, c’est le message reçu ce matin de Teslabel :